Communiqué de presse, Synopsis et Extraits du roman
1. Communiqué de presse
Inventeur grec de génie et précurseur de la technologie moderne, Archimède découvre, grâce à un bond fantastique de 2200 ans, notre 21e siècle. Il possède le recul nécessaire pour évaluer les progrès du monde moderne qu’il juge avec sidération et cocasserie, en le comparant à son monde antique. Sa présence déchaîne toutes les passions et devient une affaire d’État : va-t-il réussir à apporter des solutions aux problèmes de l’humanité ? Comment sa folle épopée peut-elle se terminer ?
Éditions Douro, 52000 Chaumont, 1er septembre 2023
Relations Presse : Antonio Cardoso
E-mail : info@editionsdouro.fr
Diffusé et distribué par Hachette
Collection : D’Ici et d’Ailleurs
Genre : Roman
Format : 130 pages
ISBN : 9782384062515
Prix : 16,00 Euros
https://www.editionsdouro.fr/boutique/Le-voyage-dArchimede-au-21e-siecle-p571707280
Auteurs : Alain Elayi et Josette Elayi
La singularité de ce roman résulte de l’association de deux auteurs pas comme les autres : c’est le premier roman écrit par un physicien nucléaire et une historienne de l’Antiquité. Alain Elayi est professeur d’université, physicien nucléaire. Il a partagé sa vie entre les congrès scientifiques internationaux, les centres de recherche et les installations nucléaires industrielles, mais aussi l’archéologie, l’histoire ancienne, le théâtre, les cafés philo et l’exploration du monde.
Josette Elayi est chercheur au CNRS, et elle a enseigné la littérature avant de devenir historienne de l’Antiquité et romancière. Elle est l’auteur d’une quarantaine de livres. Elle a quitté très tôt son Ariège natale pour des périples multiples, d’extrême Occident en extrême Orient.
Les auteurs nous emmènent de manière ludique dans un roman fascinant, à travers notre époque tumultueuse qui remet en permanence tout en question et qui est évaluée par un grand inventeur venu de l’Antiquité.
2. Synopsis
« Le voyage d’Archimède au 21e siècle » : un roman pas comme les autres !
La singularité de ce roman résulte de l’association de deux auteurs pas comme les autres : c’est le premier roman écrit par un physicien nucléaire et une historienne de l’Antiquité. Alain Elayi est professeur d’université, physicien nucléaire. Il a partagé sa vie entre les congrès scientifiques internationaux, les centres de recherche et les installations nucléaires industrielles, mais aussi l’archéologie, l’histoire ancienne, le théâtre, les cafés philo et l’exploration du monde. Josette Elayi est chercheur honoraire au CNRS, et elle a enseigné la littérature avant de devenir historienne de l’Antiquité et romancière. Elle est l’auteur d’une quarantaine de livres. Elle a quitté très tôt son Ariège natale pour des périples multiples, d’extrême Occident en extrême Orient.
Les auteurs nous emmènent de manière ludique dans un roman fascinant, à travers notre époque tumultueuse qui remet en permanence tout en question et qui est évaluée par un grand inventeur venu de l’Antiquité. Archimède de Syracuse était un inventeur grec de génie, le plus grand savant de l’Antiquité. Il est bien connu par ce que l’on appelle la poussée d’Archimède. Mais il a fait toutes sortes d’inventions comme la catapulte, le canon à vapeur, la meurtrière, le miroir mortel, la machine pour mesurer le temps, la spirale, la vis sans fin, le levier, le système d’engrenage ou encore le calcul infinitésimal. Bref, il est le précurseur de la technologie moderne.
Archimède découvre, grâce à un bond fantastique de 2200 ans, notre 21e siècle, à Paris où il a échoué. Il possède l’intelligence et le recul nécessaire pour évaluer les progrès du monde moderne qu’il juge avec sidération et cocasserie, en le comparant à son monde antique. Sa présence déchaîne toutes les passions car elle signifie qu’il a découvert un élixir de longévité. Elle devient une affaire d’État pour la France et la planète entière. Les journalistes, les hommes politiques, les entrepreneurs milliardaires comme Elon Musk, tout le monde s’en mêle et cherche à se l’approprier. Pourra-t-il faire reculer l’échéance fatale qui nous attend tous ? Va-t-il réussir à apporter des solutions aux terribles problèmes de l’humanité ? Mais Archimède n’est pas seulement un savant, c’est aussi un homme qui est sensible et qui rêve d’un monde meilleur. Comment sa folle épopée peut-elle se terminer ?
C’est un roman haletant et mystérieux qui nous interpelle tous car il s’adresse à notre intelligence et à notre sensibilité. Il peut intéresser un public très large et il est facile à lire car, même quand il aborde certaines inventions, il en simplifie la présentation. C’est la délicieuse confrontation d’un inventeur grec de génie avec le monde moderne, remplie de savoureux quiproquos, de subtiles réflexions et de clins d’œil au passé, au présent et à l’avenir.
« Archimède passe de longues heures à se faire l’idée la plus juste possible de l’état du monde moderne. D’un côté, les inventions les plus merveilleuses, les possibilités infinies qu’il possède, les réalisations artistiques sublimes, qui rendent la vie dans ce monde magnifique, et de l’autre côté, l’état de dégradation dans lequel il se trouve en grande partie. Il conclut sa longue réflexion en nous disant qu’il est grand temps de se mettre au travail pour préparer l’avenir ».
« Le voyage d’Archimède au 21e siècle » est un roman de 130 pages d’Alain Elayi et de Josette Elayi, paru le 1er septembre aux éditions Douro (16 €).
3. Extraits du roman
Archéologie
La surface métallique appartient à une énorme cuve en plomb que les ouvriers dégagent peu à peu avec précaution : elle mesure 2 mètres de long, 1 mètre de large et près de 2 mètres d’épaisseur. Dominique et les autres archéologues de son équipe sont très excités par cette découverte qui ne leur évoque rien de connu. La cuve ressemble vaguement 32 à un sarcophage, mais son épaisseur est inhabituelle, les sarcophages de l’époque sont en pierre et non pas en plomb, et le couvercle n’est pas simplement posé sur la cuve, mais il est articulé grâce à deux charnières. Après avoir longuement examiné cette cuve insolite et formulé plusieurs hypothèses préliminaires, Dominique prend une décision : « Il faut ouvrir la cuve pour voir ce qu’elle contient ». À l’aide d’une barre de fer comme levier, un ouvrier réussit à entrouvrir le couvercle. Une odeur étrange, âcre et forte, émane de l’intérieur.
– Ouvrez complètement ce couvercle, je ne vois rien, s’impatiente Dominique.
– Il y a du liquide à l’intérieur ! s’exclame un ouvrier, un liquide verdâtre et visqueux.
– La cuve en est presque pleine et il y a quelque chose à l’intérieur, ajoute un autre ouvrier en plongeant la barre de fer dans le liquide.
– Refermez vite ce couvercle ! ordonne Dominique.
– Pourquoi, chef ?
– Quand Ernest Renan faisait des fouilles à Sidon au Liban, ses ouvriers ont découvert le sarcophage du roi phénicien Tabnit. Sa momie baignait dans un liquide qui l’avait bien conservée. Sans faire attention, les ouvriers ont renversé le liquide et on ne connaîtra jamais sa composition.
– Mais ici, c’est différent : cette cuve n’est pas un sarcophage !
– Qu’en sais-tu ? De toute manière, c’est important de pouvoir analyser ce liquide pour comprendre à quoi il servait. N’oubliez surtout pas qu’il nous vient de l’Antiquité, probablement d’il y a plus de 2000 ans. C’est déjà en soi exceptionnel et son analyse nous livrera certainement des informations intéressantes.
Mystère
– Je suis formelle, je vous confirme que c’est un corps qui manifeste une certaine activité biologique, des signes de vie en quelque sorte.
– Ce que vous dites est impossible, répète mécaniquement Dominique.
– Il faut ouvrir la cuve et examiner ce corps, mais nous ne sommes pas équipés au Louvre. Nous pouvons en revanche analyser le liquide. Pour le corps, son analyse relève de la médecine. Je vous conseille de contacter le professeur Sicard, dans le service de réanimation de l’hôpital Pompidou. Les médecins sont très bien équipés dans ce service et ils pourront gérer le contenu de la cuve si vous la faites transporter chez eux.
– Je suis en train de devenir fou, ce n’est pas possible autrement.
– Le seul moyen de savoir, c’est de faire transporter la cuve à l’hôpital Pompidou, comme je vous l’ai proposé, dit la radiologue.
– Au point où j’en suis, je vais le faire.
Humanisme
Grâce à toutes ces magnifiques inventions que vous m’avez montrées, le monde est sans doute devenu un magnifique endroit pour vivre et l’humanité tout entière en profite. Plus de pauvreté. Plus de maladies, car les malades sont bien soignés grâce aux progrès de la médecine. L’homme peut enfin être parfaitement heureux dans un monde harmonieux. Sébastien affiche un sourire qui est en fait proche du rictus et prend la parole d’un ton désabusé et amer.
– Mon ami, tu es presque aux antipodes de la réalité. Il est vrai que nos savants ont fait de magnifiques inventions et que le monde a beaucoup progressé dans beaucoup de domaines. Mais à côté de ces aspects positifs, des guerres de toutes sortes éclatent un peu partout. La surpopulation épuise les ressources de la terre et pollue l’air, l’eau potable et les sources. Le climat se dégrade et la désertification gagne continuellement du terrain. Des milliards de gens vivent presque sans ressources et certains sont en proie à la famine et en périssent. Un long silence suit cette déclaration qui est sortie spontanément, sans réflexion ni calcul, tout droit du cœur…
– Si je comprends bien, malgré tous ces progrès, les hommes sont restés des hommes.